Les DARBOUSSIER de la Guadeloupe
Le premier DARBOUSSIER de la Guadeloupe venait de Montbazin, où le patronyme de la famille est ARBOUSSIER. Cette famille donna deux consuls au village, en 1673 et en 1770.
Jean ARBOUSSIER, né le 16 novembre 1737, fils de François Arboussier et Marie Manfre, quitta son village sans doute assez jeune puisque la dernière trace de sa présence à Montbazin date de 1754, quand il est parrain, le 10 janvier, de son cousin germain Jean-Pierre, fils d’André Arboussier et de Marguerite Mestre. Il n’avait alors que 16 ans.
Il est d’abord marchand droguiste à Marseille, où il réside rue de Rome, depuis 10 mois avant son mariage, depuis mi-1760. Il est encore mineur quand il épouse en 1761, en la paroisse Saint Ferréol de Marseille Anne MAUREL, dont la famille est originaire d’Aubagne.
Il signe Jean ARBOUSSIER au mariage mais au baptême de leur fils Jean Marie Édouard à Aubagne le 7 août 1766, alors âgé de 28 ans, il est appelé DARBOUSSIER.
Ce sera désormais son nom et celui de sa descendance, même s’il lui arrive exceptionnellement, à la Guadeloupe, de signer « D’arboussier ».
Le départ de la famille pour la Guadeloupe a dû se faire à la fin des années 1760 : son fils en premières noces est né à Aubagne en août 1766 et Anne, sa première femme, meurt à Pointe à Pitre le 27 janvier 1771.
Il commerçait déjà aux Antilles puisque on trouve le départ de Marseille pour la Martinique, le 30 janvier 1766, de « Jean Darboussier, négociant ».
Le XVIIIème siècle est la période d’arrivée aux Antilles de nombreux Marseillais et Provençaux, Marseille étant le dernier port français autorisé à commercer avec les Antilles, après le monopole des ports de la côte atlantique, par lettres patentes de février 1719.
Mais, jusqu’à la guerre de Sept Ans, c’est avec Saint Pierre de la Martinique que se fit l’essentiel du commerce, pas avec la Guadeloupe. Après la guerre de Sept Ans, pendant laquelle les anglais occupent la Guadeloupe et la Caraïbe de 1759 à 1763, l’arrivée à la Guadeloupe dès 1763 d’un intendant provençal, Thomassin de Peynier, ne doit pas être étrangère à l’installation de nombreuses familles venues par le port de Marseille. Parmi elles, les « négociants ou marchands semblent représenter à eux seuls la moitié des immigrés méridionaux ».
Le négoce de la maison de commerce de Jean Darboussier se faisait principalement avec Bordeaux : c’est avec le bordelais Boyer que Darboussier faisait des affaires, mais aussi, et peut-être surtout, avec la Nouvelle Angleterre et New York.
Le transfert de l’« entrepôt des étrangers » de Pointe à Pitre à Basse Terre en 1787 est une complication pour lui et met à jour un commerce « interlope » avec Boston : jugement à l’Amirauté, vente de la cargaison du navire « Les Deux Sœurs » au profit du Domaine.
Pour loger sa famille, il avait d’abord acheté, dès 1771 une « demi maison » en charpente avec « demi cour » qu’il revendit le 22 octobre 1779 à Charles Jardinet, aussi négociant à Pointe à Pitre. Il est alors dit « négociant demeurant au morne à Bonneau près la ville de Pointe à Pitre ».
C’est donc dès les années 1770 qu’il s’établit sur ce qui deviendra par la suite et définitivement le « morne Darboussier », au sud-est de la baie du port de Pointe à Pitre.
En 1781 il achète au marchand Jean Bertrand Genty la partie complémentaire du terrain « au bas du morne à Bonneau », pour 29 000 livres en argent ; à côté de la « maison à demeurer » se trouve un appentis avec trois chaudières de cuivre.
Dans le grand incendie de la ville de Pointe à Pitre le 30 mars 1780, il n’a perdu qu’une « vieille maison remplie de bois de construction et de planches ». Il est dit en 1787 « négociant demeurant au lieu du Carénage », à l’est de la ville de Pointe à Pitre, quartier où se trouve le morne Darboussier.
A la fin du XVIIIème siècle, Jean Darboussier possédait, outre une habitation au Gosier, sa maison de commerce sur le quai du Carénage, avec une “vinaigrerie” (distillerie), et au-dessus la maison familiale avec jardin, sur les flancs du morne, ce Morne à Bonneau devenu Morne Darboussier. C’est d’ailleurs là qu’il décédera en 1803 et sa veuve en 1811.
Le 25 février 1789 à Pointe à Pitre est inhumé le « sieur François Arboussier marchand dans le bourg du Gosier, décédé hier dans cette paroisse chez Monsieur D’arboussier, âgé d’environ 48 ans, natif de Montbazin diocèse de Montpellier en Languedoc ».
Il s’agit d’un cousin germain de Jean, de deux ans plus jeune, fils de son oncle André ARBOUSSIER et de Marguerite MESTRE, né le 5 décembre 1739.
Pendant la période révolutionnaire la famille DARBOUSSIER reste à la Guadeloupe, en parfait accord avec le nouveau pouvoir.
C’est le fils aîné qui, fin frimaire ou début nivôse an IV (décembre 1795), est envoyé par Victor Hugues et Lebas faire le dépôt à Charleston d’une caution pour faire venir des subsistances à la Guadeloupe encerclée par les Anglais, et cela grâce aux excellentes relations commerciales établies par Darboussier père.
En vendémiaire an V (septembre 1796) sont recensés :
– au Gosier :
habitation DARBOUSSIER, hommes 1 rouge (mulâtre), 9 noirs ; femmes 1 rouge, 28 noires
– à Pointe-à-Pitre
DARBOUSSIER père, 60 ans, négociant
son épouse (âge non précisé)
leur fils aîné, 30 ans, homme de loi
leur fils cadet, 25 ans, aide de camp
son épouse, 17 ans
Les bonnes relations personnelles avec Victor Hugues sont mises en évidence par le fait que le fils cadet est aide de camp du général Boudet, comme dit à son premier mariage le 2 nivôse an V (22 décembre 1796) et que ce dernier avait épousé la fille de Jean Darboussier, Marie Joseph Élisabeth Augustine le 8 nivôse an III (30 décembre 1794), avec Victor Hugues témoin du marié.
Darboussier continua pendant la période révolutionnaire ses activités commerciales, orientées désormais vers la course. Il est parfois désigné comme contrebandier (wikipédia).
Quand il meurt le 15 pluviôse an XI (4 février 1803) la propriété Darboussier est en indivision entre Édouard, son fils en premier mariage, d’une part, et sa veuve et autres enfants d’autre part. Par accord amiable avec sa belle-mère et ses frères et sœurs consanguins, Édouard rachète la partie qui revient à la veuve Darboussier mais il est prévu que celle-ci restera sur l’habitation jusqu’à sa mort ; ce bail à son nom est confirmé quand Édouard vend la propriété à Léonard Tabanon en 1805. L’acte de vente, très détaillé, montre l’importance de la propriété, maison à loger et autres bâtiments, rhumerie, sécherie de café, etc. L’ensemble est vendu 225 000 livres argent des colonies.
Silvestre Lombard racheta la propriété de Darboussier le 27 août 1807, transaction passée devant Maître Deslisardies, moyennant la somme de 300 000 livres coloniales. La propriété, alors dénommée Bellevue, comprenait sept carrés « en morne et sol mouvant » (environ 7 hectares) et plusieurs bâtiments répartis sur le morne et la plate-forme en bord de mer.
Un cimetière y sera installé par les nouveaux occupants des lieux.
Une recherche très documentée sur l’historique de ce terrain a été publiée en 2013 dans le Bulletin de la Société d’Histoire de la Guadeloupe ; « Le morne Darboussier à Pointe-à-Pitre : de l’habitation à la constitution de l’usine centrale, 1807-1867 ».
L’administration coloniale s’intéresse au terrain en 1818 car « Ce morne est celui qui réunit le plus d’avantages, de facilités et de commodités pour l’établissement d’un corps de caserne. Il commande la ville et la rade de très près », mais le projet sera abandonné en 1823.
Après la crise post abolitionniste des années 1850, une usine sucrière est créée en 1867-1869, sur l’ancienne propriété Darboussier, par Jean François Cail et l’industriel guadeloupéen Ernest Souques, la plus grande et la plus moderne de la Guadeloupe.
Cette usine a été appelée Darboussier de par son emplacement sur l’ancienne propriété de Jean Arboussier, mais n’a aucun lien avec la famille d’origine montbazinoise. Elle fut dirigée par Ernest Souques jusqu’en 1907, puis devint la Société Industrielle et Agricole de Pointe à Pitre jusqu’à sa fermeture en 1980.
Le bâtiment administratif fut classé monument historique en 2006, l’ancien entrepôt en 2008.
L’ancienne usine a été réhabilitée en centre culturel : le Mémorial ACTe, centre caribéen d’expressions et de mémoire de la traite et de l’esclavage, inauguré le 10 mai 2015 par François Hollande, Président de la République.
La famille ARBOUSSIER à Montbazin
L’association Généalogie et Histoire de la Caraïbe (Bernadette et Philippe Rossignol) a reconstitué la généalogie détaillée de cette famille montbazinoise d’outre mer dont nous restituons ci-dessous l’essentiel. Nous les en remercions vivement.
Pierre ARBOUSSIER, « Bourgeois » né vers 1632 à Montbazin épouse Catherine FABRE, née vers 1636.
Leur fils Pierre ARBOUSSIER né vers 1678 (décédé le 07/07/1750 à Montbazin et inhumé dans la chapelle des Pénitents) épouse le 14/07/1703 à Montbazin, Catherine JEAN, née le 02/04/1681 à Montbazin, fille de maître JEAN, notaire, et Colombe ARTAUDE
Pierre et Catherine eurent 6 enfants, dont 2 morts en bas âge et
– Françoise épouse en 1729 André DONADIEU ;
– Marie épouse en 1735 François ROUSSEL ;
– André épouse en 1738 Marguerite MESTRE ;
– François ARBOUSSIER, ménager (Petit propriétaire agricole).
Né le 28 janvier 1709 (décédé le 08/01/1752 à Montbazin et inhumé dans la chapelle des Pénitents) il épouse à Montbazin le 12/02/1735 Marie MANFRE, née vers 1714, fille de Jean et de Marie ALLIÉ.
François ARBOUSSIER et Marie MANFRE eurent pour descendance :
– François ARBOUSSIER, ménager, né le 20/04/1735 à Montbazin, décédé le 22/07/1788 à Montbazin. Ses trois mariages sont détaillés ci-dessous.
– Jean ARBOUSSIER, né le 16/11/1737 Montbazin
– Marie ARBOUSSIER, née le 12/10/1739 Montbazin, épouse le 08/06/1762 à Montbazin, Pierre GÉLIBERT, ménager, fils de Pierre et Marguerite DOURLAND
– André ARBOUSSIER, ménager à Bouzigues, né vers 1741 à Montbazin, épouse le 05/03/1764 à Bouzigues Antoinette COUDERE, fille de Jean et Françoise GRANIER
– Marie ARBOUSSIER, née le 09/03/1747 à Montbazin, décédée à 5 mois et demi
– Pierre François ARBOUSSIER, née le 20/10/1748 à Montbazin, décédé à environ 5 mois
– Françoise ARBOUSSIER, née le 15/08/1751 Montbazin, épouse le 12/01/1775 à Montbazin, Pierre Antoine VALESQUE, ménager, fils d’Antoine, ménager, et Marie BLAVET
François ARBOUSSIER s’est marié trois fois :
● Premier mariage le 19/01/1761 à Montbazin avec Marie Thècle ROUSSEL, née 24/01/1736 à Montbazin, fille de Pierre, lieutenant de juge en la justice ordinaire de Montbazin, et Marie AZÉMA, qui décède le 21/11/1763 à Montbazin, inhumée dans la chapelle des Pénitents. Sans descendance.
● Deuxième mariage le 16/02/1765 aux Matelles (34) avec Marguerite Lacroix MAUMEJEAN, née le 14/09/1744 aux Matelles, fille de Fulcrand, notaire royal du lieu des Matelles, et Marie Michel BONNIOL.
Descendance issue de ce second mariage de François ARBOUSSIER :
– Marie Agnès ARBOUSSIER, née le 21/01/1767 à Montbazin, décédée à 9 jours
– Marie ARBOUSSIER, née le 06/02/1769 à Montbazin, épouse le 09/02/1790 Montbazin Jacques François BRUN, fils de François, bourgeois, et Jacquette POUJOL
– Marie Victoire ARBOUSSIER, née le 21/02/1771 à Montbazin, décédée à environ 2 ans
– François Fulchran ARBOUSSIER, née le 22/02/1772 à Montbazin, décédé à 2 ans et demi
● Troisième mariage le 27/05/1775 à Montbazin avec Françoise MIRABEL, fille d’Antoine, bourgeois, et Catherine JEAN (3ème degré de parenté, dispense papale).
Descendance issue de ce troisième mariage de François ARBOUSSIER :
– François Antoine ARBOUSSIER, née le 06/03/1776 à Montbazin, décédé à 14 mois
– Catherine Rosalie ARBOUSSIER, née le 17/09/1777 à Montbazin, épouse le 22 ventôse an III (12/03/1795) à Montbazin, Jean François DONADIEU, officier de santé, fils de François et Marie MIRABEL
– Adélaïde Cécile Marie Françoise ARBOUSSIER née le 28/02/1779 à Montbazin, épouse le 25 messidor an IV (13/07/1796) à Montbazin, François GÉLIBERT, agriculteur, fils de André et Marie LANGLADE
– Marie Françoise Ursule ARBOUSSIER, née le 28/02/1782 Montbazin, décédé à environ 1 an
– un fils né, ondoyé et inhumé le 19/01/1783 à Montbazin
– une fille née, ondoyée et inhumée le 25/04/1784 à Montbazin
– François ARBOUSSIER, né le 11/01/1786 à Montbazin, décédé à environ 1 mois
– Estienne ARBOUSSIER, né le 30/01/1787 à Montbazin décédé à 3 ans et demi.
Malgré les trois épouses et les nombreux enfants de François, le patronyme ARBOUSSIER disparaît de Montbazin avec la dernière porteuse du nom, Marie, veuve Brun, fille aînée de François, décédée le 8 octobre 1841 à l’age de 74 ans.
Nous retrouvons ce patronyme sous la forme DARBOUSSIER à la Guadeloupe, avec Jean et sa postérité.
François, l’aîné, est resté sur les terres familiales à Montbazin alors que ses deux frères Jean et André sont partis chercher fortune ailleurs, André en épousant Antoinette Coudere, veuve Astruc à Bouzigues, au bord de l’étang de Thau et Jean, beaucoup plus loin…
Descendance de Jean DARBOUSSIER à la Guadeloupe
Jean DARBOUSSIER s’est marié deux fois.
● Le 31 mai 1761 à Marseille il épouse Anne Maurel, fille de Côme et Marie Beaumond, d’Aubagne.
De ce premier mariage naît Jean Marie Édouard DARBOUSSIER à Aubagne le 5 août 1766. Homme de loi (tour à tour avocat, magistrat, membre du Conseil consultatif de la Guadeloupe) et propriétaire, Jean Marie Édouard épouse vers 1797/1799 Marie Rose Houdan, fille de Jacques et Charlotte Julienne Lemasson.
De cette union naissent :
– Anne Charlotte Augustine DARBOUSSIER née vers 1799/1800 et décédée le 4 nivôse an XII (25 décembre 1803) à Pointe à Pitre, âgée de 3 ans et demi.
– Catherine Angélique dite Églantine D’ARBOUSSIER, née le 26 fructidor an X (13 octobre 1802) à Pointe à Pitre. Elle épouse le 11 août 1818 à Pointe à Pitre Charles Nicolas Marie Janvre de l’Estortière, et décéde sans postérité en 1824.
● Le 4 juin 1771 à Pointe à Pitre Jean DARBOUSSIER épouse Catherine Élisabeth Huilliard de Beaulieu, fille de Jacques François, Conseiller du Roi et greffier en chef au Conseil souverain et Dame Marie Anne Catherine Mollard. De cette union naissent :
– Jean Marie François Bertrand DARBOUSSIER MONPLAISIR, né le 26 septembre 1772 à Pointe à Pitre. Marié quatre fois (voir ci-dessous) il décède à Toulouse le 21 octobre 1838.
– Catherine Charlotte Juliette DARBOUSSIER
– Marie Madeleine Perrine DARBOUSSIER, baptisée le 23 avril 1778 à Pointe à Pitre et décédée à l’age de 3 ans.
– Marie Joseph Élisabeth Augustine DARBOUSSIER, née le 28 mars 1779 à Pointe à Pitre, qui épouse le 8 nivôse an III (30 décembre 1794) Jean Boudet, commandant en chef à la Guadeloupe, né à Bordeaux le 9 février 1769. Devenu Comte d’Empire, général de Division, il meurt en Moravie le 14 septembre 1809 pendant la campagne d’Allemagne.
Du premier mariage de Jean Marie François Bertrand DARBOUSSIER MONPLAISIR, avec Marie Catherine Houdan, le 2 nivôse an V (22 décembre 1796) naissent :
– Jean Lucien dit Édouard DARBOUSSIER, né le 3 germinal an VII (23 mars 1799)
Il décédera le 23 décembre 1858 à Petit Bourg et sera le dernier représentant des frères et sœurs DARBOUSSIER en Guadeloupe.
Sa fille Marie Adelaïde dite Corinne DARBOUSSIER, née à Toulouse le 10 octobre 1831, décédera célibataire le 24 octobre 1893 à Petit Bourg, âgée de 61 ans, longtemps après les autres membres de la famille dans l’île.
Elle est la dernière des DARBOUSSIER de la Guadeloupe.
– Jean Jacques DARBOUSSIER, né le 3 ventôse an IX (22 février 1803), est décédé à l’age de 11 ans.
Du second mariage de Jean Marie François Bertrand, avec Sophie Victoire Bidaux, le 23 vendémiaire an XII (16 octobre 1803) naissent :
– Jean Marie Dieudonné DARBOUSSIER, né le 11 vendémiaire an XIII (3 octobre 1804), décédé le 16 novembre 1836, sans enfant.
– Charles Gustave DARBOUSSIER, né vers 1805 est décédé à l’âge de 6 ans.
– Marie Catherine Victoire Pauline, dite Aglaé DARBOUSSIER MONPLAISIR née le 6 décembre 1807. Elle épouse vers 1830 Charles Jacques Guilbert, puis vers 1837 Jean Noë Azemar. Décédée en 1840.
Les enfants de ces deux premiers mariages restèrent dans l’île et prirent le nom patronymique de DARBOUSSIER.
Leur père partit pour la France avec les enfants survivants de son troisième mariage avec Françoise Sophie Louise d’Ustou de Morlon le 28 septembre 1812. Ils gardèrent le nom double DARBOUSSIER MONPLAISIR, de même que les enfants du quatrième mariage à Toulouse le 21 février 1825 avec Pauline Joséphine Augustine Émilie Authier.
La suite de leur descendance sort de notre propos sur les personnalités Montbazinoises.